When the Code Tosses the Rosses – Tornado Cash and the Court’s Comedy of Errors

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Hark! Roman Storm, ce cher fondateur de cette mystérieuse Tornado Cash, s’écrie en alarmant les âmes naïves : “Mesdames et messieurs, que de risques rétroactifs vous guettez! Ces braves développeurs de logiciels décentralisés pourraient bien, à leur insu, se voir poursuivis par nos vaillants procureurs américains, comme s’ils tentaient de faire fortune en construisant une banque pirate sans gardes ni coffre-fort!”

Ce cri de détresse résonne à travers le parterre de la communauté cryptographique, alors que cette noble bataille judiciaire avance ses pas. Ah! Qui aurait cru qu’un simple code serait le nouveau cheval de Troie pour des débats titanesques : Peut-on, en publiant du logiciel, ouvrir la porte à une moulinette officielle pour des accusations de transmission d’argent illégale? 🤔

De Nos Jours, l’Avocat Crie “Retrospective!”

Selon de pieuses déclarations et de sombres dossiers, Storm insiste : “Selon la loi d’Outre-Atlantique, protégés ou non, ceux qui écrivent un code, c’est comme s’ils fabriquaient un messager pour des malfaiteurs. Et pour preuve, nos chers procureurs disent que Tornado Cash aurait permis de blanchir un milliard de dollars, ou une fortune de quoi rendre jaloux la Bourse de Wall Street!”

Oh! De pauvres développeurs de DeFi:

Comment pouvez-vous être si certains que la Justice ne vous pointera pas du doigt comme étant un Hyper-serveur d’argent? Et si l’on vous accusait d’avoir, au fond, édifié une forteresse centralisée? 🎭

Si le SDNY peut, par sa volonté impérieuse, condamner un dev pour un logiciel décentralisé…

– Roman Storm (@rstormsf) October 18, 2025

Les fidèles de Storm ripostent, clamant que leur logiciel est véritablement décentralisé – nul patron, nul coffre-fort, nul maître – et que de pointer la responsabilité des créateurs pour l’usage des malfaiteurs serait comme condamner le poète pour les vers mal-aimés qu’on lui vole dans la nuit.

Une Jurée Divisée Sur le Grand Acte de Manhanttan

Les jurés, tourmentés, n’ont su se mettre d’accord sur des accusations plus graves. Le Procureur, dans son éclat, affirme que l’outil est le théâtre d’un usage illicite, tandis que la défense s’efforce de démontrer que nul ne contrôlait en leur nom la marchandise comme le ferait une banque. 🕵️‍♂️

Les avocats, dans leurs discours, réclament l’acquittement, plaidant que coder ne veut pas dire contrôler, et que punir ces artisans du logiciel reviendrait à faire de la justice une machine à juger la pensée même.

Les Verts de la Loi Lanabrent

Les experts, croisés dans cette mêlée, préviennent : si la théorie du procureur l’emporte, cela pourrait bien ouvrir les portes à une tyrannie juridique sans précédent. Quelqu’un a même rassemblé des fonds pour soutenir notre téméraire Storm – ô noble cause! – car quand la toile devient la place de la liberté d’expression, la censure ne tarde pas à pointer le bout du nez.

Les défenseurs, bravement, invoquent la décentralisation, la nature non-custodiale de leur œuvre, jouée sur la vaste scène des blockchains publiques. La justice, argumentent-ils, ne saurait judiciariser la simple création, si elle n’a rien à voir avec la commande directe des malfaiteurs.

Et comme dans toute bonne comédie, ces joutes font rage, où, en fin de compte, le jugement reste suspendu – comme une pièce de théâtre où personne ne sait encore qui remportera le dernier acte. Ah! La justice, si mystérieuse qu’on se demande si ce n’est pas elle la vraie scène du drame, ou seulement un mauvais script mal écrit. 🎭

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2025-10-19 15:15